Les tribunaux pénaux internationnaux
Rappellons les faits. Deux kralandais se rendent dans l'empire brun et foutent un peu la zone. Ils sont arrètés et emprisonnés. Ils réussissent tout de même a organiser une évasion. Ils sont arrétés de nouveau. Jusque là on est dans le domaine du fait divers le plus commun. Mais voici comment les bruns ont réussi a transformer ce vulgaire fait divers en crise politique. Ils ont décidé d'organiser un TPI a leur endroit.
Ils auraient bien pu torturer ces pauvres bougres que l'État kralandais n'aurait rien eut à dire puisqu'après tout ce sont des criminels et même des récidivistes, ils méritent d'office tout les châtiments qui peuvent leur être imposé. Mais de tout les chatiment ceux ci prennent le TPI. Hors avec un TPI, ce n'est pas des individus que l'on traite en criminel, mais un État tout entier! Les relations diplomatique kralando-brune allait pourtant bien, les bruns ayant bénéficier d'une technologie kralandaise a prix avantageux quand ils étaient en difficulté.
Les bruns prétendent que les deux individus ont obtenu de l'aide de l'extérieur pour s'évader et qu'elle ne pouvait donc venir que des hautes instances kralandaise. Ils n'ont jamais apporté de preuves sérieuses de cela, ils l'ont juste supposé et ainsi traité notre gouvernement de gouvernement criminel. C'est pourtant une pratique que l'on utilise seulement contre les régimes criminels qui se sontrendu coupable de crime contre la paix et contre l'humanité, ce dont, visiblement, le gouvernement kralandais n'est aucunement coupable.
Notre gouvernement, devant tant de lacheté et de mauvaise foi a décidé de répliquer avec un avertissement sévère pour l'empire brun. On a enfermés deux ressortissant bruns et ont leur a fait un TPI pour avoir travailler pour un État qui met la paix mondiale en danger. Puis on a tout de suite libérés ces deux bougres. Les bruns ont joués au vierges offencées mais on les a bien avertis qu'on les surveillait de près et qu'au prochain mauvais pas du genre, ça allait barder. Notre bienveillance a ses limites.
La situation s'est ensuite calmé après quelques pourparlés diplomatiques. Mais tous peuvent retirer des lecons de cet évènement. Premièrement, les dirigeants des différents État savent maintenant qu'on ne doit pas prendre un TPI a la légère, qu'en fait il s'agit d'un cassus belli presqu'automatique. Les simples citoyens savent maintenant qu'ils n'ont pas intéret a commetre des forfaits a l'étranger. Non seulement leur gouvernement ne les défendera pas, mais en plus ils mettent se dernier dans une situation diplomatiquement difficile.